Le marteau de Londres (USA)
Artefact découvert à London , une ville du Texas en 1934 ou 1936. Il s'agit d'un grand marteau au manche brisé et incomplet, que l'on a retrouvé figé dans une roche dont l'âge est d'abord estimé au jugé à plus de 100 millions d'années.
Le marteau était incrusté dans une roche. La partie en bois était fossilisée et la tête en fer était moulée dans la pierre.
Pour que le marteau puisse se retrouver à l’intérieur de la roche c’est qu’il avait dû être construit avant que celle-ci ne soit formée (quelques millions d’années auparavant), les scientifiques ont décidé de le mettre de côté au Musée Somerwell au Texas.
Des analyses ultérieures ont démontré que l’intérieur du manche était carbonisé et que la tête, par ailleurs parfaitement formée, avait été construite avec un fer dont le degré de pureté ne peut être obtenu que par la technologie moderne. Le manche du marteau démontre qu’il n’a pas été exclu du processus de fossilisation mis en évidence par les arbres des forêts texanes. Selon les études de l’Institut métallurgique de Colombie, la tête du marteau est constituée de 97 % de fer pur, de 2 % de chlore et d’1 % de soufre.
Fait surprenant, il a été démontré que le fer avait subi un processus de purification et de durcissement digne des métallurgies du XXe siècle. La partie de terre qui entoure la tête du marteau présente également certaines anomalies. Elle s’est totalement fondue à l’objet formant ainsi une sorte d’étui pour le marteau. Comment l’existence de la preuve physique de cet « emballage » peut-il être régulièrement remis en cause ?
Selon les géologues, le lent processus de fossilisation préhistorique a eu lieu dans cette zone il y a près de 140 millions d’années. Une rapide déduction du contexte de la découverte laisse supposer qu’il existait non seulement une civilisation humaine antérieure au processus de solidification mais que cette civilisation possédait une technologie suffisamment avancée pour créer un marteau ayant les caractéristiques modernes.
L’analyse chimique de cet étui a permis de détecter des traces de potassium, de chlore, de soufre, de calcium et de silicium, ce qui contredit les hypothèses selon lesquelles la tête du marteau appartiendrait à un fragment de météorite puisque les corps de notre système solaire ne possèdent pas tant de variété dans la nature chimique.
Selon les scientifiques, le fait que la tête se soit trouvée fondue dans la roche semble démontrer que le processus d’incrustation a eu lieu sous des conditions atmosphériques différentes de celles actuelles (pression atmosphérique différente) qui correspondrait plus à une époque antérieure.
Certains voient la possibilité peu convaincante d’un morceau de bois d’un météorite de composition chimique très étrange et de morphologie exceptionnelle datant de la préhistoire. Des scientifiques plus aventureux ont vu dans cet idée un indice supplémentaire de la découverte d’une période de l’histoire de notre planète, de civilisations aux capacités techniques avancées, desquelles nous conservons aujourd’hui seulement des légendes. Et peut-être aussi l’existence de vestiges retenus par la roche.
Source : wikipédia,
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